Aide à l’emploi d’un jeune de moins de 26 ans Attention, vous avez jusqu’au 31 mars 2021 pour pouvoir en bénéficier
Quel est le montant de l’aide ?
L’aide est de 4 000 euros sur un an pour un salarié à temps plein. Ce montant est proratisé en fonction du temps de travail et de la durée du contrat de travail. Pour ouvrir le bénéfice de l’aide, le salarié doit être maintenu au moins trois mois dans l’effectif de l’entreprise à compter de son embauche.
Qui peut en bénéficier ?
Toutes les entreprises et toutes les associations, à l’exception des établissements publics administratifs, des établissements publics industriels et commerciaux et des sociétés d’économie mixte. Les particuliers employeurs ne sont pas éligibles.
Quelles sont les conditions ?
Embaucher entre le 1er août 2020 et le 31 mars 2021 un jeune de moins de 26 ans.
Embaucher cette personne en CDI, en CDI intérimaire ou en CDD pour une période d’au moins 3 mois.
Sa rémunération doit être inférieure ou égale à deux fois le montant du SMIC.
L’employeur ne doit pas avoir procédé à un licenciement économique sur le poste concerné depuis le 1er janvier 2020.
Attention :
Cette aide n’est pas cumulable avec une autre aide de l’État liée à l’insertion, l’accès ou le retour à l’emploi (parcours emploi compétences, contrat initiative emploi, aide au poste, aide à l’alternance, emploi franc, etc.) au titre du salarié concerné. L’aide vise les embauches nouvelles : le renouvellement d’un contrat débuté avant le 1er août 2020 n’ouvre pas droit à l’aide.
Comment bénéficier de l’aide ?
Les demandes d’aide sont à adresser à l’Agence de services et de paiement (ASP) via une plateforme de téléservice . Il faudra fournir une copie du contrat de travail, de la pièce d’identité de son représentant et la copie de la pièce d’identité du jeune. L’employeur dispose d’un délai de 4 mois à compter de l’embauche du salarié pour faire sa demande.
Qui verse cette aide ?
L’aide est versée à l’employeur à la fin de chaque trimestre, pendant un an au maximum, par l’Agence de services et de paiement pour le compte de l’État.
Pour l’obtenir : à l’échéance de chaque trimestre, l’employeur devra fournir une attestation de présence du salarié pour permettre le versement de l’aide.
Quel est le montant de l’aide ?
L’aide est de 4 000 euros sur un an pour un salarié à temps plein. Ce montant est proratisé en fonction du temps de travail et de la durée du contrat de travail. Pour ouvrir le bénéfice de l’aide, le salarié doit être maintenu au moins trois mois dans l’effectif de l’entreprise à compter de son embauche.
Qui peut en bénéficier ?
Toutes les entreprises et toutes les associations, à l’exception des établissements publics administratifs, des établissements publics industriels et commerciaux et des sociétés d’économie mixte. Les particuliers employeurs ne sont pas éligibles.
Quelles sont les conditions ?
Embaucher entre le 1er août 2020 et le 31 mars 2021 un jeune de moins de 26 ans.
Embaucher cette personne en CDI, en CDI intérimaire ou en CDD pour une période d’au moins 3 mois.
Sa rémunération doit être inférieure ou égale à deux fois le montant du SMIC.
L’employeur ne doit pas avoir procédé à un licenciement économique sur le poste concerné depuis le 1er janvier 2020.
Attention :
Cette aide n’est pas cumulable avec une autre aide de l’État liée à l’insertion, l’accès ou le retour à l’emploi (parcours emploi compétences, contrat initiative emploi, aide au poste, aide à l’alternance, emploi franc, etc.) au titre du salarié concerné. L’aide vise les embauches nouvelles : le renouvellement d’un contrat débuté avant le 1er août 2020 n’ouvre pas droit à l’aide.
Comment bénéficier de l’aide ?
Les demandes d’aide sont à adresser à l’Agence de services et de paiement (ASP) via une plateforme de téléservice . Il faudra fournir une copie du contrat de travail, de la pièce d’identité de son représentant et la copie de la pièce d’identité du jeune. L’employeur dispose d’un délai de 4 mois à compter de l’embauche du salarié pour faire sa demande.
Qui verse cette aide ?
L’aide est versée à l’employeur à la fin de chaque trimestre, pendant un an au maximum, par l’Agence de services et de paiement pour le compte de l’État.
Pour l’obtenir : à l’échéance de chaque trimestre, l’employeur devra fournir une attestation de présence du salarié pour permettre le versement de l’aide.